Maurice Pialat a fait onze films, et un enfant.
À Cannes où un public aveugle siffle Sous le Soleil de Satan, il répond bras tendu, poing serré. Mais ce n’est pas le poing qu’il faut regarder, c’est la main. Avant les films, Pialat avait commencé par la peinture, sur les conseils d’un oncle qui lui trouvait un don.
Il a fait des films parce que la vie ne donne à voir qu’une seule fois : des films pour regretter. Les yeux font mal, mais c’est la seule consolation.
Qu’est-ce que c’était que cette main ?
Qu’est-ce que c’était que ces yeux ?
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